Cette donnée étonnante montre à quel point les idéaux de beauté basés sur la minceur extrême peuvent nuire à l’estime personnelle, particulièrement chez les filles et les femmes.
C’est en réaction à l’image corporelle véhiculée dans l’espace public et médiatique que Léa Clermont-Dion est devenue une des initiatrices de la Charte québécoise pour une image corporelle saine et diversifiée. Jeune fille de 16 ans ayant souffert de troubles alimentaires, elle est parvenue à faire adopter par le gouvernement une mesure favorisant l’estime de soi de toutes les québécoises et tous les québécois.
Elle partagera avec nous son parcours lors d’une conférence qui se tiendra le jeudi 17 mars de 12h à 13h au local DS-1580 du pavillon J.-A.-DeSève.
Cette activité, organisée dans le cadre de la Journée internationale des femmes, est réservée aux personnes salariées SEUQAM.
Les places étant limitées, on vous demande de réserver au plus tard le 15 mars en appelant au SEUQAM au 514-987-6197.
Apportez votre lunch, desserts et breuvages vous sont offerts par le Comité de conditions de vie et de travail des femmes. Des épinglettes du 8 mars seront aussi distribuées.
À propos de Léa Clermont-Dion
Depuis l’adolescence, Léa Clermont-Dion a organisé de nombreux événements de réflexion sur l’égalité des sexes auxquels elle a participé à titre de conférencière.
Elle a siégé de 2006 à 2008 sur le Conseil du Statut de la femme du Québec. Elle est reconnue comme l’une des initiatrices de la Charte de l’image corporelle saine et diversifiée.
Reporter, animatrice et chroniqueuse pour la radio ainsi que photographe, elle a réalisé plusieurs projets documentaires, dont les expositions photos Dans la rue, Amen et Banfora en 30 visages.
Elle étudie en ce moment le droit et les relations internationales à l’université. Elle compte publier dans la prochaine année un ouvrage sur les femmes victimes des bombardements de l’OTAN au Kosovo en 1999.
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