Dans son dernier rapport annuel, la direction de l’UQAM nous apprend que la « croissance des effectifs prévue de sa population étudiante s’est poursuivie bien au-delà des prévisions établies en 2009 par le Plan de retour à l’équilibre, soit de 5 % plutôt que de 1 % ».
Qui plus est, nous apprenions la semaine dernière que la Faculté des sciences avait enregistré une hausse de 20 % des étudiants inscrits au 1er cycle. Pour l’Université ce sont d’excellentes nouvelles. Après les années de turbulences passées, c’est sans doute fort bienvenu. Qui dit plus d’étudiants, dit plus de revenus, mais aussi augmentation dans la demande de services. Donc, pour les membres du SEUQAM, cela risque d’être un peu moins réjouissant.
Que ce soit dans les différents départements, aux bibliothèques, à l’audiovisuel, au registrariat, aux cafétérias, à la reprographie, à l’aide financière, pour ne nommer que quelques-uns des services concernés, s’il y a plus d’étudiants, tout le personnel de soutien devient plus sollicité. Ajoutez à cela les changements inhérents à la facultarisation et le risque de surcroît de travail apparaît presque inévitable.
Au SEUQAM, nous recevons de plus en plus d’échos de membres qui voient leur charge de travail s’accroître de façon importante. Est-ce votre cas ou celui de vos collègues? N’hésitez pas à nous faire part de toute situation problématique. Car si en tant que membres de la communauté universitaire, nous nous réjouissons de la hausse des effectifs étudiants, il n’est absolument pas question que cela se fasse sur le dos des employés de soutien!
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