Hier et aujourd’hui, le SEUQAM a convié les membres à deux pauses collectives: l’une dans l’ouest, l’autre au campus central. L’appel a été entendu et nombreux sont les membres qui ont saisi cette occasion pour prendre quelques minutes de répit et échanger avec les collègues.
Le constat? La surcharge de travail est bel et bien une réalité. Pour plusieurs, la seule façon de ne pas se retrouver enseveli est de rogner tant sur les pauses que sur les heures de repas. Quant au travail supplémentaire si, dans certains milieux, déclarer ses heures ne semble pas poser trop de problèmes, dans d’autres, on a tendance à oublier que le concept existe.
Le résultat? Un essoufflement généralisé et l’impression pour plusieurs d’être pris pour acquis par l’employeur.
Les droits aux pauses, aux heures de repas et à la déclaration des heures supplémentaires, s’ils sont inscrits dans la convention collective sont parfois difficiles à faire respecter. Si c’est votre cas, n’hésitez pas à contacter le SEUQAM au poste 6197.
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