Grâce à votre appui, j’ai complété ce premier mandat d’un an à la vice-présidence du SEUQAM et il est maintenant temps de vous demander de renouveler mon mandat.
J’ai eu la responsabilité du dossier Santé et sécurité au travail (SST), ce qui m’a permis de relancer le travail paritaire. Il y a encore beaucoup de chemin à faire, surtout que l’information provenant de l’UQAM est insatisfaisante. J’ai mis de l’avant le dossier de la santé psychologique au travail. J’en ai fait une pierre d’assise du comité et je veux que le SEUQAM soit un syndicat novateur dans le domaine. Je veux développer une stratégie d’action pour soutenir nos membres qui vivent des difficultés psychologiques, mais aussi contribuer à orienter les revendications du SCFP pour que cet enjeu soit intégré dans la loi sur la SST. Programme ambitieux, mais nécessaire.
J’ai aussi été à l’initiative d’une campagne en prévention dans le groupe métiers et services dont je souhaite avoir des résultats au cours de l’année. Ce travail est long et ardu. À mon initiative, nous avons porté plainte à la CNESST pour le travail en hauteur dans l’une des salles de spectacle. J’ai l’intention de maintenir la pression sur l’UQAM pour tous les enjeux SST, incluant la santé psychologique.
L’un de mes principaux engagements l’année dernière était de soutenir le développement de nos communications. Je suis très satisfait du travail accompli. Nos communications suscitent l’intérêt des membres et dérangent la direction de l’UQAM.
Enfin, nous entrons dans la phase intensive des négociations. Il faudra se préparer à une forte mobilisation et j’en serai. Ce que je vois surgir de la nouvelle équipe me laisse penser que le SEUQAM est sur la bonne voie pour devenir un syndicat plus combatif dont l’intérêt de ses membres demeurera au cœur de ses préoccupations.
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