Mot de la présidente

Chères, chers membres du SEUQAM,

Dans un premier temps, je vous inviterais à lire le communiqué du SCFP qui réagit à l’Info-Direction de l’UQAM envoyé mercredi soir à 18h00. Vous y trouverez les informations factuelles qui rétablissent les faits :
https://scfp.qc.ca/vote-de-greve-des-employes-le-syndicat-denonce-la-reponse-malhonnete-de-luqam-et-rectifie-les-faits/

Maintenant, à vous tous, je voudrais tout d’abord dire merci pour la belle assemblée générale de mercredi matin.
À ceux qui n’ont pas pu être présents, nous aurons l’occasion de nous revoir durant les différentes activités qui seront organisées au cours des prochaines semaines.
Je suis très fière de l’élan de solidarité palpable dans la salle. J’avais devant moi un groupe uni, respectueux, attentif, à l’écoute.

J’ai reçu, tout comme vous, le courriel de la Direction envoyé hier soir à 18h00 comme une insulte. D’ailleurs, qui est exactement cette « Direction »? N’y a-t-il pas un individu derrière ce terme générique?

Au cours des prochains jours, le SEUQAM s’organisera pour la suite des choses et nous vous tiendrons au courant de façon régulière. Sachez que le Comité de négociation et le Comité exécutif du SEUQAM travailleront avec ténacité à faire entendre notre voix à tous!

Nous avons reçu plusieurs courriels d’appui, d’encouragements, de solidarité autant des membres du SEUQAM que d’autres syndicats universitaires et individus provenant d’un peu partout. Cette énergie positive qui est dirigée vers nous nous donne des ailes.
Malgré la fatigue qui pèse sur nos épaules, les vacances en suspens, nous gardons la tête haute.

Je milite au SEUQAM depuis 2006 et je suis présidente depuis un peu plus d’un an. Au fil de toutes ces années, j’ai été témoin du plus vilain et du plus beau à l’UQAM. L’assemblée d’hier fait certainement partie du plus beau. Le courriel de l’UQAM, du plus vilain.

Sans le personnel de soutien, l’UQAM ne fêterait pas ses 50 ans parce qu’elle n’existerait tout simplement pas.

Solidairement vôtre,
Louisa Cordeiro

Crédits: Jonathan Nadeau

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